Quand on arrive devant les premiers romains, un de mes gaulois dit :

"Ils sont beaucoup plus que nous !"

Un groupe de romains s’avance vers nous et leur chef nous dit :

"Jetez vos armes, vous ne pouvez rien contre l’armée de César."

Alors j’ai ordonné à mes gaulois de jeter leurs armes mais j’ai ajouté :

"Levez les bras !"

Nous étions habitués à l’odeur de nos dessous de bras, mais pas les romains. Les cinquante premiers sont tombés asphixiés.

Pour les cinquante suivants, on a tous enlevé nos chaussettes et ils sont tombés dans les pommes.

Alors on a poussé notre cri de guerre :

"Ouaïaïaïaïaïaïaïaïa !"

Bon, avec notre lait de chèvre fermenté et les restes de sangliers coincés dans les dents on avait vraiment une haleine de baleine. Chaque copain fait tomber cinquante romains à la renverse.

Mais Jules César, qui est derrière ses troupes, envoie encore des attaquants. Il va falloir utiliser l’arme secrète.