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chapitre 4 : le coupable arrêté.

Le coupable arrêté

 

Le commissaire LOBOTEN arrive à l’hôpital pour questionner la victime.

« Bonjour, comment vous sentez-vous ? Je suis le commissaire chargé de l’enquête sur le braquage de votre boulangerie. Que s’est-il passé, avez-vous vu votre agresseur dans la boutique ?

- Je ne l’ai pas aperçu, mais il a perdu son vieux chapeau noir, peut-être y a-t-il des empreintes. Par contre, j’ai vu deux silhouettes qui me suivaient sur le pont.

- Justement, nous avons prélevé ces empreintes sur les lieux du braquage. Elles ont été analysées par l’ordinateur. Voici les résultats.

Le commissaire sort son ordinateur portable et lui montre les photos des suspects.

  • Reconnaissez-vous ces personnes ?

  • Ah oui, je le reconnais celui-ci : c’est le patron de la boulangerie d’en face, c’est mon principal concurrent, mais c’est aussi.....mon frère qui a toujours été très jaloux de ma réussite. »

 

Le commissaire et ses équipiers obtiennent un mandat pour perquisitionner au domicile du frère d’Edward : Georges Munch.

Ils arrivent dans la maison et entrent discrètement avec l’aide d’un serrurier. Ils entendent des voix qui viennent de la cave. Le commissaire descend discrètement pour mieux entendre la conversation..

« J’ai perdu mon chapeau dans la boulangerie d’Edward lorsque nous l’avons attaqué. Il faut que l’on se méfie, la police est peut être sur nos traces.

A ce moment là, le commissaire ouvre brutalement la porte et s’exclame :

- Et oui, effectivement, la police est sur vos traces ! Vous êtes en état d’arrestation ! Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous ! »

 

La police retrouve des preuves : un sac de boulangerie au nom de la boutique d’Edward avec à l’intérieur, le contenu de la caisse qui a été volée.

 

Le lendemain, sur la première page des journaux de la ville, on voyait en gros titres :

 

« LE FRERE DU BOULANGER ARRETE.

LA JALOUSIE EST UN VILAIN DEFAUT ! »

 

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