Ils eurent juste le temps de délivrer leur famille. Ils se jetèrent dans les bras les uns des autres.

- Nous sommes contents de vous avoir retrouvés, dirent les deux enfants.

- Merci de nous avoir sauvés, on a été attaqués et enlevés par des Tyranniens, qu’est-ce qu’on serait devenus sans vous ! s’exclamèrent Clément et les parents d’Eleonore.

- Oui, on le sait, un villageois nous a renseignés. On a fait beaucoup de chemin. Comment peut-on sauver les autres prisonniers ? interrogea Léo.

Tout à coup, un garde les surprit et donna l’alerte. Il appela du renfort mais Léo avait pris la mitraillette du garde qu’ils avaient assommé et il le tua. Il lui prit les clés des autres cellules mais les renforts leur bouchaient le passage.

Léo et Eleonore firent diversion en tirant sur le mur à côté des gardes avec la mitraillette et pendant ce temps les parents délivrèrent les autres prisonniers.

Le villageois qui les avait aidés arriva dans un gros hélicoptère et leur lança une échelle. 

Tout le monde monta à bord et ils partirent dans un pays étranger où il n’y avait pas la guerre. Les prisonniers étaient très contents d’être libres. La famille d’Eléonore acheta une nouvelle maison et adopta les deux enfants qui restèrent amis pour toujours.