William marcha des heures et des heures et ne vit que du sable. Au loin, il vit une oasis. Il courut mais c’était un mirage.

L’oasis était plus loin, à une demie-heure de marche. « Allez Camélito, va un peu plus vite, j’ai soif ! » Trente minutes plus tard, il la vit et dit « Youpi ! »

Il se mit tout nu et « plouf ! », plongea dans l’eau.

- Il commence à faire nuit Camélito. Nous allons devoir camper ici. Demain, nous réparerons la gourde et reprendrons le chemin de la grande pyramide.

William fit un lit avec des feuilles géantes. Une chamelle s’approcha du campement. Camélito la suivit.

Lorsqu’il se réveilla, Camélito n’était plus là. William était perdu : sa carte était sur Camélito. « Camélito, Camélito ! » pleurait William. Il se rappela que sa gourde était percée et décida de la réparer.

Il prit un de ses chewing-gums à la menthe et boucha le trou de sa gourde. La gourde réparée, il la remplit.

Il marcha et vit un homme. Il était couvert d’un tissu et était barbu. Il dit bonjour.

- Bonjour, savez-vous où se trouve la grande pyramide ? demanda William.

- D’ici il faut compter une demie-heure de marche vers le nord pour s’y rendre.

- Avez-vous vu passer un chameau avec une carte roulée dans la poche de sa

selle ?

- Oui, avec une chamelle. Ils allaient dans la direction de la grande pyramide.

- Merci, monsieur.

Il marcha encore et arriva rapidement à la pyramide.

William entra et tomba dans un trou. Il vit alors quelque chose briller au fond du trou : c’était la deuxième clef.