Antoine demanda :

« Tu sais comment ça marche ?

- Oui ! Pour qui tu me prends !

Clarisse démarra la machine temporelle. Les trois enfants montèrent dans la machine. Ils arrivèrent dans le château mais en 1518, devant la femme de ménage qui tomba dans les pommes à cause de leur look. Léonard de Vinci arriva, surpris par les enfants du 21ème siècle. Il leur posa plein de questions : Qui êtes-vous ? Comment êtes-vous habillés ?

Les enfants l’interrompirent :

- Désolé, mais nous n’avons pas le temps de vous répondre. Au 21ème siècle, un voleur est venu pour prendre vos tableaux. Dites-nous où est le souterrain s’il vous plaît !

- Heu...attendez, je vais vous donner une carte qui vous montrera l’entrée du souterrain. Mais il n’y a pas que dans le souterrain que l’on peut se cacher. Avez-vous regardé dans une de mes grosses machines ?

- Mais oui ! Bien sûr ! Merci beaucoup !

Les enfants retournèrent dans la machine pour rejoindre le 21ème siècle.

Pendant ce temps là, le troisième groupe était parti interroger les gens du quartier. Un homme dit avoir vu une petite lumière allumée mais croyant qu’il s’agissait du conservateur du musée, il était allé se recoucher. A la cinquième maison, une vieille dame apparut. Grâce à elle, nous avions un indice de plus. Elle nous dit qu’elle avait vu vers 7H30 un monsieur habillé en noir et qu’elle s’était même dit qu’il devait être enrhumé pour porter un si gros manteau. Il avait aussi des chaussures de sport. Mais elle ne l’avait pas vu repartir car elle était partie chercher sa baguette chez le boulanger. Maintenant, nous savions qu’il était peut être toujours dans le château. Nous allâmes prévenir la maîtresse.

La maîtresse, de son côté avait appelé des élèves à l’aide. Ylan, un élève remarqua le badge sur la veste de l’homme allongé au sol : « Jean, le gardien ». C’est à ce moment-là qu’il se réveilla en criant.

« - Du calme, lui dit la maîtresse, racontez-nous ce qu’il s’est passé.

- J’étais en train de balayer dans la cuisine quand j’ai entendu un craquement de parquet. Je me suis retourné et j’ai vu un homme et une femme. L’homme avait un gros manteau d’hiver et la femme, des cheveux blonds et bouclés.

- C’est bien les indices qu’on a trouvés, remarqua Marie.

- Hé bien merci pour ces renseignements, dit la maîtresse.

- Oups ! J’allais oublier un détail : celui qui m’a assommé avait une capuche. »

Le deuxième groupe, parti inspecter le manoir, trouva un morceau de papier tâché de sang. Clara remarqua que la copie du tableau de la Joconde avait disparu. Vincent lui, vit des traces de boue. On reconnaissait des empreintes de crampons qui menaient à la salle des machines.

Les élèves décidèrent d’appeler du renfort avant de suivre les traces. Ils sont donc sortis du château puis ont marché jusqu’au jardin où se trouvait la maîtresse. Le troisième groupe qui était allé interrogé le quartier était revenu et expliquait à la maîtresse ce que les gens avaient vu. Tout concordait : on savait que les voleurs étaient deux, un homme en manteau noir à capuche avec des chaussures de sport et une femme blonde aux cheveux bouclés. On savait aussi qu’ils étaient sûrement cachés dans la salle des machines. Heureusement, la maîtresse avait un portable. Elle appela la police et dès qu’ils arrivèrent, ils allèrent dans la salle des machines suivis du groupe qui était allé voir Léonard de Vinci.

Le plus malin du groupe aperçut une mèche blonde dépasser du char d’assaut. Il fit signe aux policiers qui encerclèrent le char d’assaut.

Les voleurs furent emmenés en prison pour vol aggravé de coups et blessures.

Et nous, nous reprîmes le bus vers 18h. Mais nous avons été récompensés pour notre courage. Ainsi nous avons eu la chance de visiter le Clos Lucé pendant deux jours gratuitement.