Elle se cacha derrière une pierre et regarda les Égyptiens s’approcher. Ils revenaient d’une bataille à Alexandrie. Ils étaient terrifiants sur leurs chevaux noirs. Ils en descendirent et se dirigèrent vers la pyramide.

Juliette s’accroupit. Elle voulait s’enfuir mais les soldats étaient à l’entrée du temple. Elle avait la chair de poule. Tic ! Tic ! Tic ! faisaient ses dents. Elle reprit un peu ses esprit et se dit : « Je ne vais pas continuer à avoir peur, c’est moi qui ai voulu aller au musée. Il faut que je trouve de l’aide. »

Alors une Égyptienne qui s’appelait Ocinala dit à Juliette : « Notre reine a disparu depuis trop longtemps. J’ai besoin de toi pour tuer la sorcière Leyla qui en profite pour tuer notre peuple. Aide-nous si tu veux que je t’aide à sortir de ce musée. » et elle lui donna une magnifique tablette en or en lui disant : « Aide-nous, prends cette tablette qui hante le musée et détruis-la ! »

 C’est alors qu’elle sentit une main sur son épaule. C’était la momie qui l’avait suivie et qui lui chuchota : « Tu sais, je suis plutôt du genre serviable. Je pourrais t’aider à détruire la tablette maléfique et puis à sortir du musée. » Elles allèrent ensemble récupérer la clé auprès du tableau qui leur ordonna : « Retourne-moi pour la deuxième fois. » La momie et Juliette retournèrent le tableau et prirent la clé.

 Le père de Juliette arriva devant le musée. « Enfin, j’y suis ! » se dit Jean tout essoufflé. Dès qu’il fut entré, la porte se referma avec un grand BBBOOOMMM !!! qui lui donna la chair de poule.

Il monta l’escalier en colimaçon et vit le squelette qui lui indiquait une direction qu’il suivit. Puis il rencontra le serpent qui lui demanda de le suivre en rampant jusqu’au gang de fantômes qui le guidèrent jusqu’au tableau, et là, il retrouva sa fille en compagnie de son amie Bandelette.